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Le burn-out : pourquoi ne le voit-on pas venir ? Quels sont les signes avant-coureurs ?

  • Photo du rédacteur: Anne PELLEGRI
    Anne PELLEGRI
  • 3 juin
  • 3 min de lecture

"Je ne l’ai pas vu venir…"

"J’ai tenu… jusqu’à ne plus pouvoir."

"Je pensais que c’était juste un coup de fatigue."


Ce genre de phrases, je les entends souvent. Et si vous vous y reconnaissez, sachez une chose essentielle : vous n’êtes pas seul·e.




Homme penché sur son ordinateur, les mains sur la nuque


Le burn-out ne surgit pas comme un orage. Il arrive en douceur, parfois presque en silence. Il s’installe petit à petit, jusqu’à ce qu’un jour, le corps et l’esprit disent stop. Et souvent, on ne comprend pas tout de suite ce qui se passe.


Alors pourquoi est-il si difficile à repérer ? Pourquoi est-ce si facile de passer à côté des signaux ? Explorons cela ensemble, avec douceur.



1. Parce qu’on apprend à s'adapter, pas à s'écouter


Dès l’enfance, on nous apprend à nous adapter, à faire de notre mieux, à être "fort·e", à répondre aux attentes. On avance, on donne, on s’engage…Mais à force de vouloir bien faire, on finit parfois par s’oublier.


Dans cette course à la performance ou au "je dois", nos besoins réels, nos limites, nos ressentis… passent au second plan. On s’épuise doucement, sans s’en rendre compte.



2. Parce que les premiers signes sont discrets


Le burn-out ne commence pas par un effondrement. Il commence souvent par :

  • une fatigue qui s’installe,

  • des tensions qui deviennent normales,

  • une perte de motivation qu’on attribue à un simple "coup de mou"...


Ces signaux, on les connaît… mais on les minimise. On espère que ça passera. Et parfois, on continue d’avancer, sans réaliser que notre corps, lui, commence déjà à tirer la sonnette d’alarme.



3. Parce qu'on veut faire face


On veut tenir, pour les autres, pour notre travail, pour notre famille. Alors on se répète : "C’est rien, ça va aller." Et même si au fond de nous, on sent que quelque chose ne va plus, on n’ose pas toujours l’écouter.


C’est humain. Ce n’est pas un défaut. C’est une manière de protéger, de gérer. Jusqu’à ce que cela ne soit plus tenable.



4.Parce que demander de l’aide est encore difficile


Admettre qu’on va moins bien, qu’on est à bout, qu’on ne sait plus… ça demande du courage. Et parfois, on a peur de déranger, d’être jugé·e, ou simplement de mettre des mots sur ce que l’on ressent.


Mais il n’y a aucune honte à être fatigué·e. Avoir besoin de souffler, de soutien, de clarté… c’est profondément humain.



Et si c’était le moment de vous recentrer ?


Le burn-out est un signal. Une invitation à ralentir, à vous reconnecter à ce qui compte pour vous. À retrouver votre équilibre, à redonner du sens à ce que vous faites.


C’est dans cette intention que j’ai créé un bilan de compétences spécial burn-out, pensé comme un espace d’apaisement, de réflexion, et de reconstruction.


💫 Un espace pour :

  • déposer ce qui est trop lourd,

  • retrouver de la clarté,

  • imaginer un projet professionnel et personnel plus doux, plus aligné avec vous.



Et si on en parlait, simplement ?


Je vous propose une séance découverte gratuite, sans pression, pour faire le point ensemble.


Un moment pour vous, pour souffler, pour poser vos questions, pour voir si cet accompagnement peut vous aider à reprendre votre souffle… et votre élan.




En résumé


Le burn-out ne fait pas de bruit, mais il parle. Il murmure d’abord. Puis il crie.

Et même si vous ne l’avez pas vu venir, vous pouvez aujourd’hui choisir de l’écouter.


💛 Il n’est jamais trop tard pour prendre soin de vous. Et parfois, tout commence par une main tendue… ou une simple conversation.



 
 
 

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le 12/06/2025

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